Louise, au revoir ! Suite de l’hommage à Louise DABENE

12/04/2013 Les messages des orphelins de Louise continuent de nous arriver à l’Acedle ; Nous avons passé ce vendredi 12 en étroite pensée avec Michel, les enfants de Louise pour cette journée d’au-revoir.
(Retrouvez la première partie de l’hommage dans la rubrique « Association – Le billet de l’acedle »)

J’ai eu la chance d’avoir eu Louise Dabène, comme professeur de didactique des langues, dans mon cursus universitaire en Licence de Sciences du langage. J’ai eu la chance de travailler avec Louise Dabène dans le cadre de mon DEA et de mon doctorat en didactique des langues. J’ai eu la chance de connaitre et de côtoyer cette dame, grande par son esprit vivace, son intelligence, son esprit d’équipe, son humilité, son élégance et sa gentillesse. Merci Louise pour tout ce que vous m’avez apporté… Très affectueusement Stéphanie Galligani, université Paris 3 DILTEC

N’étant pas issue de l’entourage direct (et étant « nobody »), je n’ai pas osé m’exprimer auparavant. Or, je ressens une immense tristesse…. J’aimerais donc, si vous le pouvez, faire parvenir ce message à son époux : Je n’ai pas eu l’immense plaisir et honneur de connaître Mme Dabène, et pourtant, je suis particulièrement affectée par sa disparition. Ses travaux ont été à l’origine de mon questionnement et guident ma réflexion tout au long de ma recherche. Etant en train de finaliser ma thèse, je lui dédie celle-ci, modestement… Sa disparition n’est que physique : elle restera à tout jamais parmi nous. Je la porte dans mon coeur et partage avec vous la douleur de son absence. » Je vous remercie, Mme Macaire, d’avoir offert la possibilité aux « anonymes » d’exprimer leur attachement. Je n’ai pas souhaité écrire sur la liste de diffusion de l’Acedle mais espère cependant que vous pourrez transmettre ce message à M. Dabène. Avec mes plus sincères remerciements, Rebecca Dahm Doctorante en Didactique de l’anglais EA 4140 – Université de Bordeaux-Segalen

Meine Zeit in Paris hat mir viele persönliche Begegnungen ermöglicht und ich werde diese wertvollen Erinnerungen als persönlichen Schatz auch nach dem Heimgang dieser so hochgeschätzten Persönlichkeit in meinem Herzen behalten. Ein ehrendes Andenken bewahrend, in aufrichtiger Verbundenheit Bruno Seebacher OStR Prof. Mag. Bruno Seebacher Hochschullehrer i.R./ KPH Graz

Les membres de l’équipe d’origine (MAFPEN, 1990) des langues en primaire de l’Académie de Lyon se rappellent l’apport inestimable qu’ont représenté pour eux/elles ses ouvrages Variations et rituels… puis Repères sociolinguistiques… Un de ces collègues a même débuté sa thèse avec Mme DABENE (reprise et poursuivie quelques années plus tard avec un autre directeur, en raison de son départ en retraite) Avec notre reconnaissance, Bien cordialement, Jeanny PRAT

La didactique des langues a tant profité de l’énergie de Louise, cette énergie qu’on entendait sous les cliquetis de ses talons dans les couloirs du « CDL »… Chaleureuses pensées à Michel, et à toute sa famille. Sylvie Wharton, Université Aix en Provence

Cher Michel, Très ému par la triste nouvelle, je tiens à vous exprimer toute ma sympathie et vous prie de bien vouloir agréer mes sincères condoléances. Albert Raasch Prof. (emer.) Dr. Albert Raasch Angewandte Linguistik und Sprachlehrforschung Französisch Romanistisches Institut Universität des Saarlandes D-66123 Saarbrücken priv. : Kolberg 13 D-24113 Molfsee Tel. : +49 / 4347 / 2214 Fax : +49 / 4347 / 7984 e-Mail : ARMolfsee@aol.com http://sites.google.com/site/raasch/albert/

La triste nouvelle qui m’est parvenue mercredi 10 avril me poursuit. C’est une période importante de « ma vie didactique » qui ressurgit. Autour de Louise, nous avons été plusieurs à nous rencontrer à un rythme intense, dans le cadre du comité constitutif de l’ACEDLE, pour tenter de redynamiser, sur le plan national, la didactique des langues. Et c’est bien l’énergie sans relâche de Louise et sa foi dans tout ce qui pouvait favoriser le succès et encourager la valorisation des langues qui ont permis à l’ACEDLE de naître en 1989, au bout de quelques mois de réflexion, puis de jouer son plein rôle auprès des praticiens des langues comme des chercheurs en Didactique des langues. Toutes mes pensées vont vers Louise. À son époux Michel, j’exprime ma profonde sympathie. Tous deux restent associés dans mon cœur aux avancées marquantes de la discipline. Jacqueline Feuillet-Thieberger, professeur émérite, Université de Nantes, CRINI.

Quand on est hispaniste dans les années 80, quand on est à l’étroit dans les cadres traditionnels, quand on veut redonner du sens à son travail et à celui des élèves et étudiants dont on a la charge et qu’on découvre les travaux de Louise Dabène, on trouve son nord et on s’y tient. Merci Madame Dabène. Claude Normand, Maître de conférences Université de Lorraine, Laboratoire ATILF CNRS, équipe CRAPEL.

Chers collègues, Je voudrais rejoindre l’initiative de l’ACEDLE et dire aussi un au revoir collectif à Louise, Dans son style « intercompréhensif » et en hommage à son apport à la DL et à mon parcours professionnel particulier, je le ferai dans ma langue. Je rajoute une des dernières photos de Louise avec moi-même au Portugal, lors d’une réunion du projet Galanet.

Foi com profundo sentimento de perda que soubemos em Aveiro da triste noticia do falecimento de Louise Dabène. Pela sua energia contagiante, entusiamo, pensamento inovador, inteligência, capacidade de liderança e de envolver todos num projeto comum, o que se veio concretamente a materializar no grupo Gala-, Louise Dabène permanecerá nas nossas vidas como um dos pilares fundamentais daquilo que somos e em que acreditamos em Didatica de Línguas Helena Araújo e Sá

C’est avec une immense tristesse que j’ai appris la disparition de Louise Dabène. J’ai eu l’honneur et la chance de l’avoir comme directrice de mémoire DEA en 1990-91. Elle a toujours été à l’écoute, disponible et attentionnée. Elle a été pour moi un être remarquable, tant pour ses qualités de chercheuse que pour son côté humain. C’est avec une peine profonde que j’offre mes sympathies à sa famille. Judith BARNA, Université d’Artois

J’ai pour ma part très peu connu Louise Dabène, mais ai souvent entendu parler d’elle, ne serait-ce que par Jacqueline. Je sais, au moins en partie, le rôle important qui a été le sien… J’ai aussi vu les faire-parts dans Le Monde, dont celui de l’Acedle. En toute sympathie, Danielle CANDEL, PARIS

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